BANDIT BANDIT c'est une belle mauvaise idée, une sorte de Bonnie and Clyde ténébreux et frontal.
À l'origine il y a ce duo, ce duel. Français ou Anglais, aimants ou amants, qui se complètent dans ce paradoxe évident. Nourris par leurs ainés, BANDIT BANDIT c'est du rock'n roll actuel, teinté de psyché.
Ce n’est pas du garage, ce n’est pas de la pop, ce n’est pas du punk, mais c’est un peu de tout ça réuni dans un cocktail explosif et lascif.
DISASTER SERENADES, 3e album du duo rock franco-américain basé à Paris, sortira le 4 Octobre prochain.
Invitation directe au lâché prise, impossible de ne pas s’enflammer devant une telle énergie. Leur Rough Wave est un véritable mouvement thérapeutique, une course sonique emplie de passion et de fureur offerte dans une transmission brutale sans détours.
Le premier album "Salvation Prayer" du quator de Giverny a été enregistré à Portland avec aux manettes Peter G. Holmstromm.
C'est un condensé de riffs entêtants, mélodies lancinantes et rythmiques lumineuses à la 60's 90's comme diraient les tambourin man fauchés californiens.
Bloqué dans l’espace-temps en 1984 entre un drugstore fermé et une station-essence de Pontault-Combault, le Metro Verlaine en partance pour le cimetière du Père Lachaise et ses voyageurs aux mines encore plus sombres que celle de Robert Smith le jour où il s’est coupé les cheveux, voue un culte au rock sombre, romantique et chante le désenchantement toutes griffes dehors.
Des moutons, les 5 garçons de Fabulous Sheep n'en sont surement pas. Le quintette délivre un rock incandescent, servi par des kids en furie d'une vingtaine d'année. Leur son est la rencontre de la rage punk et des mélodies pop, quelque part entre l'underground new-yorkais et le post-punk anglo-saxon.
Derrière ce nom se cache Vincent Girault, un producteur et musicien polyvalent proposant une musique électronique en apesanteur. Beats synthétiques et instruments organiques s'enlacent avec sensualité, comme un pont naturel entre musique pop et expérimentations.
Ici un blues nomade aux réverbs solaires, là des guitares de plomb imprimant le tempo d’une charge heavy-psyché, ici encore des escales modernes vers l’ethio-jazz, la soul de Memphis, le garage sixties ou le funk du bayou.
« Mirror For Heroes » est une album à la fois lumineux et profond, au son doux, chaleureux et mystique des 60’s/70’s où vibrent parfois les échos d’un autre monde ; la voix de Lena y est à la fois mélancolique, sensuelle et obsédante. On y découvre des mélodies entêtantes, des envolées Bowiesques, des riffs qui nous ramènent au Jefferson Airplane de San Francisco ou à la noirceur des caves de New York et du Velvet Underground.
Ces parisiens entrent par la grande porte de la nouvelle scène anglaise, dansante et pop, avec un cartable plein de lances-pierres fourbis par Nirvana
Cathedrale respecte le cahier des charges du bon élève garage rock : rythmiques godillots au plancher, voix frondeuses, et guitares vigoureuses à l'avant. Le groupe toulousain condense ses influences pour servir une musique post-quelque chose, à la croisée du garage, du punk et de la powerpop. En 2020, paraîtra Houses Are Built the Same, troisième album enregistré à Londres par Syd Kemp au Haha Sound studio.